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Ivanna Koslov
« Preuve est faite que visage dévoué sert à enrober de sucre le diable même »
Ivanna Koslov


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Date d'inscription : 08/02/2009

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MessageSujet: Contexte   Contexte Icon_minitime1Dim 8 Fév - 20:48


    « Bienvenue, bienvenue à vous inconnu(e).
    Vous êtes là depuis longtemps, je vous ai vu. »

    Nous sommes quelques centaines d’adolescents. Ne me demandez pas qui nous sommes, je ne sais même pas qui je suis moi-même. J’ai été violenté toute ma vie, du berceau au fond du puits. Je ne sais pas où ni par qui, mais j’en ai des séquelles qui je le sais, resteront à vie la preuve de mes envies. Je viens de loin, de très, très loin pour me venger des miens qui m’ont traité comme un rien.

    « Bienvenue, bienvenue à vous inconnu(e).
    Vous êtes là depuis longtemps, je vous ai vu. »

    Dans les quatre coins du monde, nous sommes là pour nous venger du mal qu’ils nous ont fait. Noirceur. Peur. Horreur. L’odeur de ces sentiments sont gravés dans nos cœurs sans pansements. Personne ne pourra guérir nos cris. La seule médecine est celle de leur vie. Même arrêtés, nous sommes prêt à tout pour leur empêcher de nous faire oublier plus encore ce que l’on est.

    « Bienvenue, bienvenue à vous inconnu(e).
    Vous êtes là depuis longtemps, je vous ai vu. »

    Mais dans notre quête de vengeance, une chose commune nous est arrivée… Alors que l’on partait chacun de notre côté, nous avons été frappés, frappés tellement fort que l’on en a tout oublié, sauf nos efforts. On se réveille un bon jour sur un lit entre des murs grisés et on nous dit : « Restez calme. Nous allons vous aider. Nous allons vous soigner puis vous pourrez nous quitter. » Bizarrement, on a tout oublié…

    « Bienvenue, bienvenue à vous inconnu(e).
    Vous êtes là depuis longtemps, je vous ai vu. »

    Vous savez, nous sommes des étrangers pour nous-même, mais ce n’est pas pour cela que nous ne sommes pas comme vous… On respire, on boit et se nourrit. Nous pensons et agissons consciemment, mais pour eux, nous sommes les pantins manipulés par nos esprits déments. Viennent alors les fantômes de nos passés qui hantent nos rêves. On se redécouvre alors une vie avant l’amnésie.

    « Bienvenue, bienvenue à vous inconnu(e).
    Vous êtes là depuis longtemps, je vous ai vu. »

    Non ! Ne partez pas ! Attendez ! Nous n’avons rien fait de mal ! Juste oublié qui l’on était ! Ah… Vous aussi vous avez remarqué ce sang qui coulait... Il a gravé les murs de ce palais avec le temps et sa force. La colère des uns est fossilisée dans les salles noires et nos mémoires hantent les rescapés de l’espoir. Ne partez pas… Ce n’est rien contrairement au mal que l’on nous a fait. Ne partez pas, la sortie est bloquée. Ne partez pas, vous êtes enfermés tout comme on l’est.

    « Bienvenue, bienvenue à vous inconnu(e).
    Vous êtes là depuis longtemps, je vous ai vu. »

    Vous aussi, vous êtes rongés par un désir de vengeance. Mais conscients de cela, vos parents – vrais ou non – vous ont envoyé ici pour vous empêcher de nuire à la société. Ils sont venus une nuit pour vous injecter de quoi vous assommer. Vous en êtes devenus amnésiques. Mais ne paniquez pas, un jour, vos fantômes viendront vous hanter pour vous donner le souvenir de qui vous étiez.
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Ivanna Koslov
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MessageSujet: Re: Contexte   Contexte Icon_minitime1Dim 22 Mar - 0:14



L'ombre Suit Sombre Nuit ; Une Lune Brune Luit.
Tranquille L'air pur Distille L'azur ; Le sage Engage Voyage Bien sûr !


N'est prévisible que ce qui est écrit, dit et redit, mais pas un bruit ne sort de la bible des erreurs rédigée par les maîtres attitrés. Pourtant, preuve est faite de par les saignements des enfants que la vie n'est pas ce qui est écrit. On peut se cacher derrière un voile, mais il y aura toujours quelqu'un pour le relever et faire que tout se dévoile. Possible alors est de voir l'envers du décors, caché aux âmes externes. On y voit les instructeurs affliger leurs blâmes, faisant la sourde oreille devant les pleurs pitoyables et implorants clémence des internes innocents. Innocents... Peut-être ne le sont-ils pas tous, voilà justification de leurs coups sans retenue sur ces âmes en peines.


L'atmosphère De la fleur Régénère La senteur, S'incorpore, Évapore Pour l'aurore Son odeur.
Parfois la brise Des verts ormeaux Passe et se brise Aux doux rameaux ; Au fond de l'âme Qui le réclame C'est un dictame Pour tous les maux !


Tous n'ont pas carte blanche et s'en démangent. Ils regrettent leur choix d'être resté gentilés et se décident à frapper. L'ombre accompagne le plus dangereux et vaillant d'entre eux. Il est inconnu lorsqu'il frappe mais apprit de tous lorsqu'il travail. Ce n'est pas un hybride à double face, il est le jour et la nuit, sans faire de bruit. Certains arrivent dans les limbes lugubres. Alors plus rien ne sert d'appeler, de crier alerte. Personne ne vous entend, il vous tien et ne vous lâchera pas. Pas d'isolement, c'est plus bas encore que l'on descend. Ne criez pas, on ne vous entendra pas. Ne fuyez pas, il vous rattrapera. Sentez-vous cet amer goût de fer ? L'arrière goût de sang ? Sentez-vous l'odeur de l'enfer ?


Au ciel, il n'est plus d'étoiles Le nuage couvre tout De ses glaciales voiles ; Il est là, seul et debout. Le vent le pousse, l'excite, Son immensité s'irrite ; A voir son flanc qui s'agite, On comprend qu'il est à bout ! Un peu plus loin, mais frémissant encore Dans le ciel noir l'orage se poursuit, Et de ses feux assombrit et colore L'obscurité de la sifflante nuit.
Puis par instants des Aquilons la houle S'apaise un peu, le tonnerre s'écoule, Et puis se tait, et dans le lointain roule Comme un écho son roulement qui fuit ;


Un faible rayon apparaît, il n'y a pas de fenêtres qui pourraient vous permettre de savoir où vous êtes. Vous vous tournez, vous ne voyez qu'un lit d'infirmerie. Une lampe au-dessus vacille. La porte s'ouvre et l'homme en noir la referme. Il sourit. Il est comblé. Il prie. Cet instant est sacré. Rien ne pourra plus l'arrêter, une fois de plus il va frapper. Des projecteurs vous illuminent, vous ne le voyez pas, vous ne voyez plus. Un rire macabre orne les murs tâchés de rouge. Personne ne bouge, sauf lui qui approche son souffle. Vous ne criez plus, pétrifié, vous ne pouvez plus bouger. Que se passe-t-il ? Vous vous le demanderez sans réponses. Vous êtes à sa merci. Merci.


Il se replie et s'amoncelle, Resserre ses vastes haillons ; Contient à peine l'étincelle Qui l'ouvre de ses aquilons ; Le nuage enfin se dilate, S'entrouvre, se déchire, éclate, Comme d'une teinte écarlate Les flots de ses noirs tourbillons.
Au ciel le dernier nuage Est balayé par le vent ; D'horizon ce grand orage A changé bien promptement ; On ne voit au loin dans l'ombre Qu'une épaisseur large, sombre, Qui s'enfuit, et noircit, ombre Tout dans son déplacement.


La souffrance vous endort. Il le sait. Vous ne tiendrez plus longtemps, vous rêvez de dehors. Il le sait. Vous souffrez, vous vous échappez par l'esprit. Il le sait. Vous n'êtes personne pour lui. Que des objets. C'est pour cela qu'il le fait. L'essence de votre corps coule le long de votre poitrine, de votre front, sort de votre bouche et de votre nez, vous êtes torturé. La solitude pèse, prenant de l'altitude. La lumière s'adoucit, devient oubli. La noirceur et l'odeur de toutes ses horreurs restent imprégnées dans votre corps en douleur. Les yeux fermés, vous ne savez plus si vous rêvez ou bien si tout cela s'est réellement passé, vous sombrez, dans un sommeil avant l'éveil.


Dans le ciel l'étoile D'un éclat plus pur Brille et se dévoile Au sein de l'azur ; La nuit dans la trêve, Qui reprend et rêve, Et qui se relève, N'a plus rien d'obscur.
La fraîche haleine Du doux zéphyr Qui se promène Comme un soupir, A la sourdine, La feuille incline, La pateline, Et fait plaisir.


Des séquelles sans précédents couvrent votre corps. Vous vous êtes sûrement battu, vous ne vous souvenez pas de la journée précédente, juste de ce cauchemar aux semblants si réels. Mais aujourd'hui est un autre jour et la luminosité diurne vous redonne le sourire bien que ce n'est pas dans ce centre martyr que vous vous sentez le mieux. La journée était tout à fait comme les autres, rien à déclarer, vous avez sûrement rêvé. Pourtant lorsque vous le croisez, un pressentiment vous prend. Vous frissonnez de toute part, sans savoir s'il a son regard sur vous. Cette personne masquée, qui était-elle ? Peut-être était-ce le rêve d'un souvenir de votre passé, alors vous le gardez et y songez.

La nature Est encore Bien plus pure, Et s'endort ; Dans l'ivresse La maîtresse, Ainsi presse Un lit d'or.
Elle Fuit, Belle Nuit ; Une Lune Brune Luit.
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